Bonsoir,
L'asthme, maladie psycho-somatique ?
Alors le bien-être que peuvent apporter des animaux de compagnie a-t'il un impact sur la maladie ?
Je ne me permettrai pas d'apporter une réponse à ces questions, et me contenterai de vous relater l'expérience vécue pendant près d'une dizaine d'années au sein d'une association d'asthmatiques très active.
Tout d'abord, une info statistique amusante : parmi les personnes qui souffraient d'une allergie aux chiens ou aux chats, en très gros, près de 90% des personnes concernées se sont séparées de leurs chiens, alors que moins de 10% des asthmatiques concernés ont décidé de mettre leur chat au placard !
Eh oui, c'est qu'un chat on s'y attache tout autrement qu'à un chien, enfin à moins que ce ne soit le chat qui nous tienne tellement... mais c'est un autre sujet !
Je sais que ça transpire dans mes propos, même si j'aime beaucoup les chiens (
j'ai eu de nombreuses années un "Montagne des Pyrénées"), mon cœur appartient sans retenue aux félins de poche.
A l'occasion d'une cure médicale faite en Suisse (
Davos, un haut lieu de la lutte contre l'asthme), j'ai bien entendu subi tous les tests possibles et imaginables (
sinus, cavité buccale, dentition, estomac, analyses sanguines, prick tests, tests de déclenchement, etc.).
Certaines analyses ont permis de faire la part des choses entre des allergies actives et des allergies passives.
Alors en fait, passive ou active, les réactions cutanées peuvent être similaires lors des prick-tests par exemple, mais ça s'arrêtera là.
Quand une allergie active déclenchera sans ambiguïté une crise d'asthme, cette même allergie si elle reste passive ne déclenchera aucun incident ! Etonnant, non ?
La médecine française semble encore rester dans l'ignorance totale de ces notions peut-être trop pointues
; enfin tous les médecins à qui j'en ai parlé dans l'hexagone m'ont affirmé que c'était stupide... une allergie est une allergie, un point c'est tout !
Voilà... et dans mon cas, cette allergie aux chats identifiée, eh bien dans la chambre de nébulisation lors des essais de déclenchement de crise, il ne se passe absolument rien... alors l'aspect psycho-somatique, on y revient
A+
Roland
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ahhh quelle déception. Tout a commencé il y a 2 semaines avec une éritation aux yeux qui ressemblait davantage à une conjonctivite mais mon optométriste m'a évalué et on en déduit que c'était une allergie. Effectivement le traitement a été efficace. S'en est suivi un mal de gorge (situé au palaît là où il y a la jonction avec les voix nasales) le nez qui coule, la toux et difficulté à expectorer le mucus rendu de plus en plus épais. Donc je suis allé à la pharmacie me procurer des antihistaminiques et j'ai fait une réaction en soirée, même avec l'utilisation de mes pompes (ventolin) aucune amélioration, ce qui s'est traduit par une inflammation des vois respiratoires et une grande difficulter à respirer. J'ai été à l'urgence et tout semble être en ordre, je sais maintenant que je dois soigner ça et être très vigilante à ces signes.
)--mon pneumologue m'a vivement conseillé de le "confier à quelqu'un--" 
)--et y dort--
